Une Afrique virtuelle forte pour une liberté des données.

Depuis Décembre 2019, le monde est en lutte contre la pandémie COVID-19. Ce point en est sorti pour facteur incontournable du système de travail à domicile, le “ stay home” qui a obligé presque n’importe quelle entreprise à adapter le mode de travail.

Les mesures de distanciation sociale ont contribué dans l’intégration au numérique des africains et ses applications socio-économiques et le taux de pénétration d’internet en Afrique tend à augmenter ces deux dernières années d’une façon spectaculaire.

L’expérience montre que la pandémie a favorisé certaines sociétés s’intégrant au monde du numérique.

L’imposition de l’informatique dans presque tous les domaines de la vie est aussi devenu incontournable sur le marché de travail de telle sorte que le nul en informatique n’a plus sa valeur précise au profit des informaticiens qui ne sachent pas grand-chose dans le monde du domaine d’exécution. Cela est justifié par le fait que dans certaines entreprises, les informaticiens contrôlent tout grâce aux différents logiciels adoptifs.

Tenant compte que la population africaine est jeune, nous confirmons que d’ici 2050 comme l’explique le document qui parle de l’emploi de la jeunesse africaine l’an 2018, l’Afrique aura ses efforts concentrés sur la jeunesse.

Avec le problème de migration basé sur la pandémie COVID-19 et les limites y relatives, la jeunesse du monde des affaires est prise.

Sur les 11 millions de jeunes qui partent au marché du travail, seuls 3 millions d’emploi sont créés chaque année comme le montre le rapport de l’African Development Bank Group, 2018, cela constitue un défi à la jeunesse qui est toujours appelé à pouvoir se créer son propre emploi à partir des ressources disponibles.

Touché par tous ces facteurs, une idée m’a fortement motivé, laquelle pourra sauver la grande majorité de la jeunesse africaine et qui saura nous faire un avenir assuré.

En effet, ces années sont marquées par des contraintes émanant de la mauvaise situation causée par la pandémie qui a obligé les entreprises à s’adapter à l’usage quotidienne de l’ordinateur.

Cela est devenu facilité pour certaines tâches mais a aussi causé des ouvertures aux hackers qui se sont livrés aux données transmises par mails ou autres voies électroniques utiles. Selon les statistiques de IC3, les pertes au terme d’argent s’élèvent à 900 millions de dollars américains pour 110 milles victimes l’an 2020 et des e-mails des entreprises contenant des rapports en toute leur diversité ont été traqués.

Cela, devenu plus impactant, les sociétés aux ventes des articles allant au monde du numérique, ayant assisté à certains vols, perdent leurs clients du fait que le vol numérique est devenu si habituel.

De nos jours, quand le monde est devenu plus petit grâce à l’adaptation de l’utilisation de l’internet, il est plus utile de retrouver la confiance des internautes par une libération de certaines clauses de la vie courante malgré la peur créée par ladite pandémie par d’autres philosophies de travail dans la période post-COVID.

Que faire face à la situation ?

Je ne pourrais pas baisser les bras, sans toutefois lancer ce premier recours à African Continental Free Trade Area Agreement (AfCFTA)” pour adapter un libre marché pour de libre jeunesse afin d’arriver sur un point d’un marché libéral des idées, le facteur incontournable du développement tant local que régional.

En revanche, ayant même ces idées et la capacité de l’exécution dans le temps, la question de l’espace est devenue plus exigeante. Cela se justifie par le fait que, suite au COVID-19, les exigences pour une migration rassurée, des livraisons confiantes et des points de rencontres sûrs, sont plus que contraignantes, pour passer une frontière d’un pays vers un autre ce qui pourra facilement être réglé avec l’AfCFTA dans la logique qu’il aura à ouvrir de nouveau la libre circulation des personnes et des biens et faciliter les hommes d’affaires à pouvoir construire un marché commun interafricain ce qui nous parviendra à une monnaie unique contre l’inégalité monétaire qui fait progresser certains pays au détriment des autres sous différente régime monétaire.

Bref, conscient que la population africaine est majoritairement jeune, une jeunesse dont l’activité centrale est basé dans le domaine de l’agri-business, et qui tend à être pris par le monde de la robotique, j’appelle la jeunesse entrepreneure et innovatrice à participer et fournir ses efforts dans les centres et instituts de formation en programmation et en développement logiciel du basique aux codages avancés, cette jeunesse qui, une fois formée, sera à mesure de guider les industries de transformation agricole, de la gestion des travaux des entreprises numériques et en assurer la protection des données privées pour pouvoir sauver ces millions de dollars en défaveur de l’Afrique qui sont perdus chaque année, lesquelles pourraient contribuer à la création de ces emplois devenus de plus en plus oubliés. Vu la prospérité en vitesse de chargement déjà lancé en Afrique Subsaharienne depuis 2020, le 5G, l’utilisation d’un internet fiable et confidentiel pourra faciliter l’achat des outils numériques, des bouquets quotidiens, le déploiement des infrastructures mobiles, octroyant ainsi des emplois multi diversifiés aux jeunes africains sans emplois. 

Ainsi, nous aurons la toute possibilité de lutter contre ces espions impactant le rendement et le mode de travail de nos entreprises en même temps faire vivre la technologie chez nous.

Cette jeunesse qui aura la capacité de manager le monde du numérique sera capable d’organiser des formations virtuelles et ainsi construire une Afrique prospère dans tous les secteurs de la vie humaine.

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